samedi 4 février 2017

SPERMAIL (spermailleurs)



PAGE inTROUvable

ombres blow shadow fellation langue bite amateurtag 2017 error 404 not found

























scrol llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
s
scr
scrol
scroll
l
l
l
l
l
biohardcore alexa gone wild porn with IA - pissing while fucking in the ass



VR Public Pornetricks #biohardcore alexa gone wild porn with IA

ARTicle CLITique / / FAILle CLITique /  / ARTicle CLITique


s
s  r
sp rm
sperm
spermAIL
sperMAIL
spermAILLEURS --> SALIVERS v v v


inside flesh mouthful champagne spermailleursblowjob cum in mouth spermailleursnoeuds sperme bouche pleine bulle pov


vivids  v b v b blobjob gaming clickbait pissbait pornbait masturbate spermate spermute

bl bl bl blablabla ask
blobjobs soft shots leaked snaps

"oui quoique car"  camER@_anIM@l   dormir pluggés


q q k q kq qk con filles con filles danses y y y alitées con con confilles danses y a litté confidentialité t'es

arobase esperluette croisillon arobase esperluette croisillon arobase esperluette croisillon

ARTicle CLITique / / FAILle CLITique /  / ARTicle CLITique


roborgs cybots & autres bestiaux...

I'm not a robot test

a nos us 
anus & coutumes
à nous

spices species
merry berry

postambule :
nous sommes des vagabondes hagardes.

UX Signals - spermutants - Mandingo in your ass

contre le datacentrisme de l'informatique économique
pour la magie noire de l'informatique sorcière

poètes :: producteurs de plaisirs proxénètes de putopies ou pire

nos fragmondes commutisent  -- lapisse lazulie

ARTicle CLITique / / FAILle CLITique /  / ARTicle CLITique


corpoetry :: corpoetry

désultoire :
cochumains PORCHUMAINS parchemains

voter est un geste fasciste
voler est un geste altruiste

j20 - washington dc


j20 - anarchistsj20 anarchists become ungovernablej20 - washington dc




inspectant, reculer, enculer, inspecteur t'es tech- tech tech


'tectoniques arches nos corps s’emmêlent et fument l’air jusqu’au plafond nos corps dans cette pièce eux frappent, frappent gras ou secs frappent, nos corps apaisent l’air martial sangs gisent, foncent vois, vois rampe porte à la ronde à la coup de pelle à la dicte, toi dicte freine pas je t’en, cuir feu tendre – Ar,iane-Ar,iane-A – belle tempe, douce, hématomes aux jambes et cheveux roides, bouts noirs fi-, arc sœur couchée, corps torse bois, l’ombre froide son visage – s’efface dans l’ombre bleus et effluves, odeurs sens de peaux nos cailloux intimes, les plaies mollusques rases, les loutres goinfrées, les linges, torses son visage dans l’ombre, nos yeux sont larges, ouverts sur l’autre – une fine couche une poussière humide recouvre notre terrier, notre trou tiède et là, là à l’ombre, nos formes s’enlacent – s’en-
jambent – rideau fleuri en plastique, ample, gonflé de courant d’air nous sépare du dehors cohorte de vent comme cohorte cohorte et lorsque nous ne nous – enfilons pas n’enlaçons pas nos corps dans la fraîcheur de cette salle, Ariane (prostituée nocturne) dort par terre sur la terrasse, repliée sur elle même et cul aux plantes, une lumière douce-verte la berce elle se repose de sa nuit, prépare son corps à la nuit à venir deux chiens aux bois, frère-sœur sauvages, liment leurs dents paressent – j’écris, elle dort à l’autre bout à la berge opposée, ses égosillées cuisses ses cuisses je leur bouffe l’araigne, démantibulée d’affects, vaseuses grappes de lichens d’eau la noient son araigne, les bêtes veulent boire – je ma Ariane la pose sur les flancs du lac, à ses rives douces plages faites de mousse ; là très preux la dépose, c’est dire la nuit deux corps dont l’un, sœur elle est allongée là et face à elle je suis lustré de boue jusqu’aux chevilles, l’eau aux cuisses et frottés de vent lourd, capitonnés de bavardes feuilles mortes nous médusons lents, l’un dans l’autre nous nous médusons tièdes, balafrés de profondeurs faites d’opaque, de quintessencié ciel noir. Que la nuit nous enserre et nous peaufinons la relation, sororale, pourvue leste d’odeurs lac, nuit, et le lieu réatteint sa quiétude.'



l'adolescence désigne les âges où notre force grandit où nos formes de vie mutent 
où nos corps attouchent & achoppent à de nouvelles réalités sexuelles


'Or elle toi chienne chienne prostrée pute et moi son frère carpe canaille vautrant cul aux plantes, couché aux courges, carottes, étables viatiques les loups foutus d’encre, carrés orgues tombes bas coups – lâches, serrés, qui cuivre culminent à la charge de neuves rusées hautes rapines sq chienne louve rp a prostrée pute lq et lui moi rp son f ton tq frère l carpe s pluie canaille o s l vautrant rq pli aux plantes a lp lui l couché aux courges e e c arottes et e étables viatiques sp loups l foutus d encre a c arrés orgues l tombes bas coups bas coups è h lâches èhr serrés e qui l cuivre culminent l à la l sq charge de neuves rusées hautes rapines h... Ces rugosités crasses d’écorces lacérées de traces noires, les tiges huilées d’arbrisseaux, les fougères plantureuses : les caressent... Elle, saoule, y fond son corps : certainement elle n’a de cesse que de continuer, et pénétrer plus avant les touffes et les feuilles, les marées de nuit, flaques noires flaques d’argent.'



ARTicle CLITique / / FAILle CLITique /  / ARTicle CLITique


'Freddo dégaine et il y a introduction. Hop nouvel effet de variation sur l’érotosymphonie lettriste du moment, dont la cadence notamment se trouve salement ralentie, du fait des modifications sur le souffle de Karolien que ladite introduction occasionne. Délicatesse et tact tranquille dans l’allure, la dégaine, Freddo garde néanmoins les oreilles ouvertes en gouffres immenses, pour bien se faire lacérer l’intérieur des flux sonores barbelés buccaux de sa nouvelle amie. 
rq l air est à la bouchée de carpes l cuisses richesses a l air rit l air lq l air coupe du lp fond des p r c uves la bouillie de mes m faims m a m a a hr mama r l nos n o s c orps gris la nos lc orps g r is la h i a hai ne l la r v ilaine s oie n ous nos r g r oupu s cules g a s pillées nos r f o rmicas de t uiles l i è i rp oussées a  — Ariane est transes là torse, poitrine courbette mâchoire ouvre et liquide, rit cuisse vives rengaines pelotes molles ses gencives, s’imprègnent de pluie se mornes rances se – elle roule de côté — et roulons de côté après bouffe là jus d’astres fumets de viande à nos cuisses là roulent aux jambes nues, rengaines vives de nos mâchoires torses et nos dos, dos aux arbres Ariane transes, Ariane lèvres lèvres là et mâchoires, rit cuisses ouvre et liquide, poitrine transes aux bords à fumets, fumets de miel gigues gigues d’or et de viande, viande miel viande viande d’or là fumets — aux petits gorets sentiers menus aux chemins marchons raides marchons corps lavé de pluies fines, et chaudes pluies fines sillonnent'



ARTicle CLITique / / FAILle CLITique /  / ARTicle CLITique


– les cieux galopent à la rencontre de nos culs, regarde –
regarde : la dégradation — 


— --- dégénération d'amas là laniakea dans nos culs là @ @ @

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire